Encore une fois, la vacance de la présidence de la FAF fait sortir du bois, quelques mégalomanes (toujours les mêmes !) qui s’attellent à semer la confusion dans les esprits alors que le problème est pris en charge d’une manière sereine par les parties concernées. Cette fois-ci, ils tentent de « mobiliser » l’opinion sportive autour du départ du Bureau fédéral et en appellent à son départ.
Naturellement, une telle campagne n’est pas fortuite. Elle enfonce des portes ouvertes. Ces mégalomanes cherchent à brûler les étapes, en créant une situation d’urgence, pour éviter toute réflexion ou analyse et passer au plus vite aux élections du futur président. Ainsi, ils zapperont l’assemblée générale extraordinaire (Agex) de mise en conformité des statuts de la FAF dont la date avait été fixée à la fin du mois de juillet.
Cette Agex les dérange parce qu’elle marque au niveau de sa composante, un point de rupture avec un résidu de la Issaba qui a conduit le football national à la catastrophe. Ce résidu toujours en activité, se réunit d’ailleurs à chaque nouvelle élection pour influencer les résultats, aidés, il faut le dire, par des acteurs médiatiques. Ils sont connus pour être dans la soumission informative depuis une vingtaine d’années et sont totalement liés à des intérêts personnels et non au développement du sport.
Si le vrai changement est dans la mise en conformité des statuts, il y a aussi le programme des candidats à la pré- sidence de la FAF qui pose problème. Les mégalomanes n’en parlent pas. Et pourtant, il serait logique, comme dans toutes les fédérations nationales que les candidats présentent le document à une commission (de préférence du MJS). Une fois approuvé, il sera exposé à l’Agex qui choisira en toute démocra- tie celui ou celle qui dirigera le football national durant un mandat. Le vrai changement est là !
