
On est plus dans le ridicule. Le lobbying pour l’ex-président démissionnaire de la FAF, Charaf-Eddine Amara, s’est accentué, ces derniers jours, dans certains médias qui ne font pas dans la retenue. Bien sûr que cela éveille quelques soupçons avec un message bien clair, qui prône le retour de celui qui a échoué dans sa quête de qualifier l’équipe nationale au Mondial. Après Madame Soleil et ses boules puantes, en voilà un (e) autre de la même trempe, mais qui actionne dans un autre registre, celui du « bonimensonge » vulgaire, qui ferait rire même les singes en hiver. Il a écrit dans un quotidien de la place que «Charaf-Eddine Amara avait été sollicité par toute l’Afrique (oui par toute l’Afrique !) pour se porter candidat au Comex, mais que Zefizef lui a barré la route»
Toute l’Afrique ! Il est méchant, le gentil Zefizef, d’avoir agi de la sorte pour ne pas politiser le problème et rester zen. Il y a de quoi répondre que la sardine qui a bouché le port de Marseille a pris un casse-croûte calentica du côté de Oued Elma Crampel. L’événement a été transmis en direct dans toute l’Afrique. Depuis quelque temps, notamment au niveau du sport, elle est, ainsi, la liberté d’expression sans limite, lorsque l’on ne respecte pas les lecteurs que l’on prend pour des zombies. Heureusement que, dans notre pays, une quelconque candidature ne dépend pas des Madame Soleil et des bonimenteurs, sinon on entendrait des pélicans jouaient du trombone.