ALG : Djamel Belmadi n’est que le sélectionneur, sans plus
LAFORDASSE

On aura tout vu, lu et écouté autour de la démission du président de la Fédération algérienne de football, Djahid Zefizef, et des ambitions affichées par ses désormais détracteurs et éternels coalisés à vouloir imposer leur poulain, Walid Sadi, l’ancien membre du Bureau fédéral de l’époque de Mohamed Raouraoua, un HTR qui l’a choisi, alors qu’il ne sait pas faire la différence entre un ballon de football et un ballon de rugby. Après avoir échoué, en juin-juillet 2022, à mettre en place leur feuille de route face au candidat Djahid Zefizef, avant de se liguer avec l’autre candidat, Abdelhakim Serrar, les voilà de retour. Depuis quelques jours, on assiste à une résurgence de Walid Sadi par les coalisés pour tenter de mettre ce pion à la tête de la plus grande Fédération sportive en Algérie.
Et pourtant, ces mêmes personnes ne sont pas structurées dans le mouvement sportif national et certains vivent même à l’étranger. Ils osent imposer leur diktat à toute la famille du foot ball et bénéficient de micros ouverts et sont invités VIP sur les plateaux télévisés pour dénigrer et seulement dénigrer. Ils tentent d’associer pour mieux discréditer, Djamel Belmadi dans le choix du futur président de la FAF. Il est accusé de tous les maux, même quand il s’agit d’une pénurie de pommes de terre (sic). Chacun y va de son « canasson », comme au tiercé. En vérité, Belmadi n’a de pouvoir que sur l’équipe nationale. Son départ est tributaire de son contrat et il suffit juste que son employeur le lui signifie. Il partira sans la moindre indemnité comme l’ont fait ses prédécesseurs.
Bref, laissons travailler le sélectionneur et évitons de l’associer à la gestion administrative de Dely Brahim.
– LAFORDASSE