ALG : En finir avec le vieux logiciel et ses tartuferies au fiel
LAFORDASSE

Décidément, il en faut beaucoup pour dissuader les tartufes et autres revanchards de poursuivre leur campagne véhémente et leurs boules puantes contre l’ancien sélectionneur national Djamel Belmadi, pourtant parti depuis deux mois. Depuis cinq ans, il hante toujours leurs nuits par ses multiples exploits et performances qu’il a pu réaliser : du sacre de la CAN en 2019 à la série historique des 35 matchs sans défaite, en passant par les quatre années sans le moindre faux-pas (2019, 2020, 2021, 2023), consommant seulement six défaites. Plus encore ,en réussissant à convaincre ces jeunes loups à porter le maillot national.
Un palmarès que bien des sélectionneurs et équipes nationales envient et jalousent. Bien sûr, ces tartufes ont tous les droits de sublimer un nouveau sélectionneur, Vladimir Petkovic, qui n’a disputé que deux matchs amicaux à domicile, encaissant la bagatelle de cinq buts, alors que son prédécesseur avait débuté par deux matchs officiels en 2018, ramenant un nul (1-1) face à la Gambie puis s’imposant à domicile contre le Bénin (2-0) avec une sélection qui était à la ramasse. Quand on veut sérieusement comparer deux situations, l’honnêteté intellectuelle d’abord puis la probité, cela exige de le faire logiquement et méthodiquement.
Ces mêmes esprits malveillants des sous- traitants à la semaine qui n’ont jamais cessé de lâcher leur venin sur la sélection et tout ce qui gravite autour pensent, hypocritement, que la parole s’est aujourd’hui libérée pour que chacun puisse débattre de tout. Or, pendant toujours, ils avaient la parole libre de dire et écrire ce qu’ils veulent. De fomenter les pires complots, d’accuser, de diffamer, de dénigrer, de jouer aux réducteurs et aux tartufes, déversant l’anathème sur tous ceux qui refusent d’adhérer à un vieux logiciel périmé dont
le seul but est de retrouver un statut XXXL perdu et des privilèges sur le plan national qu’international.
Que de gros bobards de ces média- mensonges d’affirmer qu’il n’y a pas si longtemps,tout était tabou : la liste des joueurs convoqués, le choix en matière de composition d’équipe et d’options tac- tiques. Toute une foire aux fausses infor- mations et de la manipulation était montée, malgré les mises en garde alors qu’un nou- veau staff technique avec à sa tête comme sélectionneur Vladimir Petkovic. Sont-ils déçus par le fait de voir que l’Helvético – Suisse a puisé dans le même effectif que celui de Djamel Belmadi (il n’y a qu’à se référer à la liste élargie de la dernière CAN), mais avec quelques revenants, notamment les deux Yacine : Brahimi, Benzia ?
Faut-il rappeler que le joueur du club qatari Al-Gharafa a été évincé par le duo Madjer- Ighil Meziane et non par Djamel Belmadi ? Ils trompent ainsi les téléspectateurs ou lecteurs. Nombreux sont ceux qui s’interrogent encore sur les raisons pour lesquelles l’ex-sélectionneur est toujours dans leur viseur. La réponse est connue
et mille fois répétée par les patriotes de la balle ronde : tant qu’un vieux logiciel périmé dirigera ouvertement le football algérien, ce dernier ne pourra pas effectuer les changements déjà opérés dans d’autres secteurs de l’activité nationale. Il s’est spécialisé depuis longtemps de tajines de tartuferies au fiel dégoûtant et rien ne semble arrêter sa capacité de nuisance.
Pourquoi le cacher ? C’est un bel héritage qui a été légué à Vladimir Petkovic par son prédécesseur et les Verts. Il serait bien inspiré de ne pas le saccager, mais de fructifier. Cela redonnerait de l’espoir aux millions de supporters follement amoureux de leur équipe nationale.
LAFORDASSE