
Le président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), Samuel Eto’o, n’est pas resté les bras croisés à la suite du refus de la Confédération africaine de football (CAF) de valider sa candidature au poste de membre du Comité exécutif de la CAF, en mars prochain, lors de l’assemblée générale élective de l’instance. Il a porté plainte au Tribunal arbitral du sport (TAS) le 28 janvier dernier.
Le président de la Fecafoot n’est pas le seul à saisir l’institution judiciaire sportive. Il a été imité par Jean-Guy Blaise Mayolas, président de Fédération congolaise de football (Fecofoot), un opposant à Patrice Motsepe, seul candidat à sa réélection à la tête de la CAF. Tout comme Eto’o, il a été suspendu en 2015 par la FIFA.
Deux autres cas sont à relever. Celui du président de la Fédération botswanaise (BFA) jusqu’en septembre dernier, MacLean Letshwiti qui n’a pas bénéficié du parrainage de sa « fédé » et s’est adressé à Lausanne. Le dernier n’est autre que le Camerounais Seidou Mbombo Njoya, fidèle allié de Motsepe, actuellement dans l’expectative.
YANIS . B