
Le secrétaire général de la Fédération algérienne de football (FAF), Mounir Debbichi (deuxième à partir de la droite) en compagnie de l’ex-Bureau fédéral de Charaf Eddine Ammara au centre), a réussi une nouvelle fois à sauver sa tête in extremis, après l’énorme scandale et la large vague d’indignation qu’a suscité le forfait des féminines aux éliminatoires des Jeux Olympique de Paris-2024. Dans les heures qui ont suivi la confirmation du forfait des Algériennes, après le tirage au sort des éliminatoires de des prochains JO, le limogeage du patron de l’administration faisait le tour des rédactions. Le président de la FAF, Djahid Zefizef, a été convoqué au ministère de la Jeunesse et des Sports pour expliquer, dans le détail, les causes ayant mené à l’absence des Algériennes. A sa sortie de la place du 1er-Mai, des informations concordantes faisaient état du limogeage de Mounir Debbichi en sa qualité de patron de l’administration et donc responsable des différentes correspondances, notamment avec les instances internationales. Dans la nuit, nous apprenions que son maintien a été arraché sans plus d’explications. «Il a obtenu un nouveau sursis», indique une source fédérale qui a requis l’anonymat