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ALG : Madame Soleil fait l’éloge des catastrophiques quatre mandats de la FAF

LAFORDASSE

Quand Madame Soleil veut faire du journalisme et qu’elle ne maîtrise pas les techniques rédactionnelles notamment ce qui peut être un commentaire, un éditorial ou une news, c’est pardonnable. Mais qu’elle fasse du bla bla bla en vendant à ses lecteurs du tout- venant, bien souvent en falsifiant l’histoire du football algérien, alors c’est inacceptable. Ainsi, pour Madame Soleil, sa «magie néfaste» est de conclure que l’âge d’or du football s’est arrêté en 2017. Se pose alors la question du choix de cette année et pas celle de 2000 ou 2010 ? Les véritables spécialistes de la place ont vite fait naturellement de lever le lièvre. (notre photo – à gauche, l’ex-gestionnaire de la FAF, Mohamed Raouraoua qui a dirigé durant une vingtaine d’année la FAF en compagnie du Premier ministre Abdelmalek Sellal).

L’année 2017 n’est pas anodine. Elle marque la fin de la catastrophique gestion du football avec l’instauration du professionnalisme et d’une organisation poussive du football amateur. Mais Madame Soleil qui a été partie prenante dans l’équipe dirigeante de la FAF et la LNF a cherché à illuminer et vanté la triste période des quatre mandats qui ont précédé l’arrivée de Kheïreddine Zetchi. Elle a zappé volontairement les humiliations subies avec la perte des postes du Comex et de la FIFA à cause d’une ambition démesurée du parrain, manipulé par l’ex-président de la CAF, Issa Hayatou et les multiples échecs notamment dans l’attribution des CAN.

Il faut reconnaître à Madame Soleil qu’elle n’a pas oublié les privilèges sportifs et extra- sportifs dont elle a bénéficié, tout au long de ces quatre mandats. Aussi est-il pour elle, l’heure de renvoyer l’ascenseur à ceux qui n’ont pas fait leur deuil d’occuper la maison de Dely Brahim. Ils sont toujours à l’affût en pourrissant les réseaux sociaux de fake news, agissant même de l’étranger. Ils sont connus. Seulement voilà depuis 2017, la balle ronde roule dans le sens du progrès et quand bien même l’opinion sportive regrette le départ de Kheïreddine Zetchi de la présidence de la FAF, et même si la route qu’il a tracée a quelque peu ralenti, Djahid Zefizef ne l’a pas déviée.

C’est la raison pour laquelle les vingt der- nières années avant 2017 n’inspirent ni plus ni moins que la faillite de notre système de développement de notre football et le choix des hommes qui y ont contribué. N’est-ce pas Madame Soleil ?

LAFORDASSE

 

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