
Madame Soleil fait l’éloge de la défaite de son clan animé par leur HTR des années 80 (ndlr- au niveau de la sélection nationale grâce au MJS, Kamel Bouchama) alors que son prête-nom se mure dans un silence pitoyable. Pour elle, la prolongation est bénéfique et pour une fois, elle a raison. Son favori a échappé à la « guillotine » devant la minceur de son dossier, le moins fourni que les trois autres candidats. Et il n’a dû son salut qu’à un compromis de dernière minute qui le met malgré tout en ballottage défavorable lors du second scénario que l’on essaie de concocter en sa faveur. On ne devient pas universitaire en une journée (sic).
De fait, ce premier scénario a fait pschitt à cause des experts du « grand empêchement » qui n’auraient pas été associés à cette opération ou tout simplement parce que dans le débat, des éléments nouveaux ont pris place. Comme par exemple, le rôle de plus en plus imposant des youtubeurs – influenceurs sportifs qui font la chasse à la désinformation et à la propagande à partir de l’étranger, a été déterminant. Ainsi, le hurleur de Doha (simple commentateur à BeIN Sports) n’a plus le monopole de l’écoute. Dans une vidéo, il a été « ridiculisé » et « fracassé » pour avoir « installé » le prête-nom, aux commandes de Dely Brahim et son gourou, à la présidence d’honneur de la FAF. Des mensonges de plus vite étouffés.
La vérité revient à la vox-populi qui, dans sa large majorité, est devenue exigeante et décortique le vrai du faux. Elle n’accepte plus d’être bernée. Des informations fuitées lui ont appris que si le premier scénario n’a pas abouti, c’est grâce au refus des organes de la FAF de cautionner toute forme d’intervention basée sur la pratique du « téléphone » et de l’ordre « venu d’en haut ». En rejetant le choix de la candidature unique, la Commission de candidature et le SG de la FAF ont agi en responsables. Ils sont parvenus à repousser la démarche qui leur a été proposée, en expliquant tous les dangers et les menaces, si la voix de la légalité n’est pas respectée.
Voilà pourquoi la mise en place du second scénario doit être convaincant, parce que le football national n’a pas que des amis.